Parfois et même assez souvent je pense à vous. J'aurais aimé mieux vous connaitre, j'ose penser qu'il en était de même pour vous à mon égard... Pour moi vous resterez à jamais le visiteur inattendu de la maison; celui que j'écoutais lire les "Dents du tigre" dans le poste et dont parfois la voix se matérialisait dans mon décor familier. Aujourd'hui votre voix m'accompagne assez souvent lorsque j'écris ce blog. Vous vous glissez entre Gonzales et Chopin. Je m'en veux un peu que vous y soyez si discret...
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