Mais c’est sans doute la vocation du romancier, devant cette
grande page blanche de l’oubli, de faire ressurgir quelques mots à
moitié effacés, comme ces icebergs perdus qui dérivent à la surface
de l’océan.
Patrick Modiano, dernière phrase de son discours lors la remise de son Prix Nobel
↧
cette grande page blanche de l’oubli
↧